Gehenne
Dites-moi, vous qui m’aimiez tendrement
Ces délices partagés, nos corps enlacés,
N’étaient-ils que le fruit de nos songes ?
Dites-moi, vous qui me méprisez ardemment,
Vos mains arrachées à ma gorge, de souffrance
Épouseront-elles à nouveau mon âme, cette géhenne ?
Sibel Bütün.
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