Adieu, charmante cousine
Adieu, charmante cousine. Adieu, beauté incomparable ! Adieu, pure et céleste âme. Adieu, tendre et inséparable amie, femme unique sur la terre. Vous êtes le seul objet digne de mon cœur. Daignez vous rappeler quelquefois la mémoire d’un infortuné qui n’existait que pour partager avec vous les sentiments de son âme, et qui cessa de vivre au moment où il s’éloigna de vous. Si jamais…
Jean-Jacques Rousseau.
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